Virus dans l’air, risque le contraire

activité entreprise

 

Le risque n’est pas forcément le virus.

 

La question est de savoir comment s’adapter à une information  » diffuse »,

qui se veut non alarmante au début,

qui du jour au lendemain fait l’objet de communication très ciblée,

de conseils de précautions à prendre,

d’avertissements,

de décision d’ordre public :

INTERDICTION DE PRODUIRE, laisser votre personnel à domicile.

 

Waouah .

 

Les médias s’en mêlent, tout s’emmêle.

 

1 semaine de stock chez les fournisseurs concernés, toute la chaîne se retrouve bloquée….

 

La France n’est ( pas encore) concernée par les mesures de  » cloisonnement ».

Sauf que votre entreprise ne travaille pas qu’avec les fournisseurs du coin,

Et votre client, lui est bloqué.

 

Conséquences :

1 – baisse d’activité

2- reclassement du personnel, voire arrêt de missions intérim

3- chômage partiel

 

Les informations arrivent au compte goutte.

Comment anticiper au plus juste ?

Comment éviter le coût de l’inactivité ?

Vous assumez déjà la perte de CA.

 

Même si vous pensez la récupérer….

Elle ne se récupère jamais totalement et la récupération de CA coûte aussi…

 

« Last but not least »

 

Vous n’avez qu’un seul secteur d’activité, pas de diversification, et il est principalement touché.

 

Combien de temps pour tenir ?

Combien de temps pour remonter la pente ?

Sans autre incident, ou accident ?

 

Faut-il  » supprimer », réduire la voilure, pour rester en place,

pour survivre avec le stricte nécessaire,

être prêt à redémarrer,

être prêt à saisir les nouvelles opportunités qui vont surgir ?

 

C’est stratégique, pas forcément économique,

Cela est coûteux,

Cela est très risqué.

 

Reprendre l’aventure, partir de crise pour écrire une nouvelle success story,

Cela n’est pas « donner à tout le monde ».

 

Regardez les stats.

 

Non seulement vos reins doivent être solides,

l’équipe, les compétences doivent être dans le game,

l’énergie doit être à son max.

 

Le chef d’entreprise, dans sa personnalité ( il en a trois, c’est plus que le schizo 🙂

1- L’artisan- entrepreneur va se battre jusqu’au bout.

Il est dans la résolution de problèmes, il y a toujours une solution, Il faut tout essayer avant d’abandonner!

 

2- Le chef d’entreprise, dans sa personnalité – visionnaire ou investisseur- va calculer si cela vaut la peine.

Jusqu’à quel niveau il peut perdre de l’argent ?

Doit-il en perdre ?

 

3-La troisième personnalité du chef d’entreprise – structurant ou méthodo- n’aura pas forcément le temps, tout dépend de l’avancement pris par l’entreprise dans cet  » état d’esprit ».

 

Le diagnostic engage des décisions et des traitements plus ou moins douloureux.

C’est douloureux !

C’est une question de temps.

 

Par contre la démarche de diagnostic peut se faire relativement vite en prenant rdv ici

Attention, je n’accompagne pas tout le monde, uniquement les chefs d’entreprise qui veulent se battre, survivre, se préoccupent de l’avenir de leurs salariés

Attendez vous à des refus.

Le pour…quoi vous voulez continuer à gagner de l’argent est mon principal critère de choix 🙂

Il existe plein et plein de spécialistes qui vous aideront à  » compresser », et au moindre coût pour certains ( c’est ce qu’ils vous diront :))

 

 

Call Now Button